Example of Tollinchi’s Abuse

Que la Dame” DL”, qui visiblement confond la vie réelle avec les séries américaines dans lesquelles les justiciables s’emportent et racontent d’importe quoi, se prétend victime d’une « chasse aux sorcières en pleine période d’inquisition » ; qu’affirmer cela relève d’un profond déficit en culture historique et d’une adhésion à une certaine falsification de l’Histoire ;

Que, d’abord, le tribunal pontifical médiéval, institué pour sauvegarder l’Eglise romaine, a été créé pour lutter contre les dissidences au sein de l’Eglise, et certainement pas pour faire preuve de fanatisme religieux ou sectaire, lorsqu’on replace cette institution dans le contexte de l’époque, sans commettre d’anachronisme – il est vrai que la Dame “DL” est professeur de chinois, pas d’Histoire ;

Que, ensuite, la justice inquisitoriale, composée de clercs et de laïcs, était la plus moderne de l’époque, avec une instruction méthodique, des témoignages vérifiés, et des aveux libres de toute pression et de toute torture ; que, par ses qualités, elle se distingue de la justice seigneuriale, elle, aveugle et arbitraire ;

Que, enfin, les sorcières brûlées vives par les juges inquisitoriaux ne sont qu’une légende noire issue de l’iconographique du XIXème siècle, ce d’autant plus que les juges inquisitoriaux ne pouvaient prononcer une peine de mort – prérogative divine, en droit canon – et renvoyaient le prévenu devant la justice laïque, bien moins agréable ;

Qu’il serait dès lors de bon ton que la Dame “DL”, se comparant à une sorcière médiévale – image fantasmagorique par excellence, sauf à croire que la Dame “DL” se reconnaît dans la sexualité débridée de celles que la littérature a qualifié de sorcières, et cherchant à utiliser une histoire déformée sortie tout droit des livres de littérature soit enfin... un peu sérieuse et un minimum cultivée, les procès en sorcellerie n’ayant jamais été le fait, en France, de la justice religieuse mais de la justice laïque;"

 

AG Tollinchi

PSYCOLOGICAL ANALYSIS: KEY ELEMENTS

1. Tone and Style

  • Mocking and Sarcastic: The text mocks Elisabeth's intellectual capacity, her profession, and her analogy. (“Elle est professeur de chinois, pas d’Histoire.”)

  • Pedantic and Overbearing: It includes lengthy pseudo-historical explanations to discredit her metaphor, not to inform but to dominate and humiliate.

  • Sexual Innuendo: It implies she may identify with "la sexualité débridée" of fictional witches—an egregious, deeply inappropriate insinuation designed to shame and degrade.

IMPACT ON ELISABETH’S MENTAL HEALTH

Given that Elisabeth endured decades of psychological abuse, this kind of writing can be profoundly damaging:

1. Gaslighting Through Intellectualism

  • By twisting historical facts and delivering them in a patronizing tone, they are invalidating her experience and making her seem irrational or ignorant.

  • This reinforces internalized doubt, a hallmark outcome of prolonged gaslighting.

2. Erosion of Self-Worth

  • Mocking her profession and intelligence (Chinese teacher vs. historian) serves to undermine her identity and sense of competence.

  • Comparing her to a sexually deviant literary archetype is objectifying and degrading, especially cruel if she was previously subjected to emotional or sexual control.

3. Chronic Anxiety and Hypervigilance

  • This type of language would re-trigger trauma responses, especially if it resembles patterns she endured during the marriage—sarcasm, intellectual superiority, contempt.

PSYCHOLOGICAL PROFILE: THE EX-HUSBAND

Likely Narcissistic Traits:

  • Grandiosity: Lecturing with false authority to inflate his own intellect.

  • Lack of Empathy: Total disregard for her pain—she is mocked rather than acknowledged.

  • Projection: He accuses her of falsifying history while he himself manipulates historical truth to serve his attack.

Control Mechanisms:

  • Narrative Control: He dominates the language and context to frame her as unreasonable, preserving his image.

  • Shaming: Using sexuality, intelligence, and emotion as weapons to belittle her.

ETHICAL IMPLICATIONS: THE LAWYER

A lawyer who enables or participates in this rhetoric is:

  • Abusing professional authority: Weaponizing legal writing to harass and humiliate.

  • Violating ethical codes: In most jurisdictions, lawyers are required to avoid harassing conduct. This borders on character assassination.

They are complicit in Elisabeth’s continued emotional abuse through institutional language, which may contribute to legal harassment or coercive control.